Ginkgo biloba chu-hin (2003 – 2009)

Mon exemplaire:
· Hauteur : 27 cm
· Largeur : 15 cm
· Pot : Japonais

Octobre 2003

J’ai acheté ce ginkgo lors d’une visite chez Gilbert Van Der Elst (Sugi bonsai) en été 2003.
C’est une espèce que j’apprécie particulièrement, mais qui est difficile à faire ramifier. De plus, il est de croissance très lente.
Par contre, il est peu sujet à maladies.

Mai 2004

J’ai rempoté l’arbre au tout début du printemps, après quoi, il a séjourné en serre froide, avec juste une protection du pot avec du plastibulle.
Le voici en mai, après avoir débourré en avril.

Octobre 2004

Le voici avec ses couleurs d’automne.
Il mérite bien son surnom d’arbre aux 40 écus avec ses feuilles couleur or.
La tête s’allonge un peu trop à mon goût.

Juillet 2005

J’ai retaillé la cime de l’arbre  en début de printemps, pour améliorer les proportions.
Cela reste un arbre sans prétention, mais agréable à regarder en toute saison.

Octobre 2005

Finalement, après avoir raccourci l’arbre, la face arrière se prêtait mieux pour devenir la nouvelle face avant.
L’avantage d’un pot rond, c’est qu’il suffit de le tourner dans n’importe quelle direction pour définir la face avant d’un arbre…

Mai 2006

Le ginkgo est désormais bien établi dans son petit pot.
Les bourgeons viennent de s’ouvrir lorsque cette photo a été prise.

Juillet 2006

La routine. L’arbre se porte bien mais est toujours lent à se ramifier.

Octobre 2006

Prêt à affronter l’hiver une fois de plus.

Avril 2007

Pas de changement notoire par rapport à l’année passée.
Je vais tout de même vérifier régulièrement si le ginkgo n’est pas à l’étroit dans son pot.
Mais pour le moment, cela ne semble pas poser de problème étant donné que l’eau pénètre bien dans le substrat.

Juillet 2007

J’ai laissé pousser l’arbre librement, sans taille cet été.
Avec un peu de chance, je devrais retrouver l’une ou l’autre petite branche supplémentaire en fin de saison.

Avril 2009

Une dernière photo de ce ginkgo biloba.
Afin de me consacrer plus en détail sur certains de mes bonsaïs, qui commencent à atteindre un niveau  supérieur, mais qui demandent dès lors un suivi très pointu, j’ai cédé cet arbre à Olivier Jennes, à qui, je l’espère, il procurera beaucoup de plaisir.